Tarifs

Tarifs régulier :

56 $ *

Tarifs étudiant :

46 $ *

Tarifs étudiant de l'UdeS :

41 $ *

Le tarif étudiant de l'UdeS est réservé aux étudiants de l'Université de Sherbrooke

* Des frais supplémentaires peuvent s’appliquer en fonction du mode d’achat.
Les frais d’achat en ligne sont de 5 $. Les prix peuvent varier selon les représentations ou les sections dans la salle.

** Consultez ci-bas si un forfait ou plusieurs forfaits sont associés à ce spectacle ou cette représentation. Notez que certaines représentations sont incluses dans des promotions et d’autres non. Lors de l’achat, retrouvez toutes les dates proposées.

Description du spectacle

Spectacle présentement disponible en Abonnement Mercredis au théâtre  Mise en vente à l’unité (hors abonnement) le 8 juin dès midi

Dans le rôle des deux femmes en or et en chair, Sophie Desmarais et Isabelle Brouillette sont parfaites. La Presse

LA MANUFACTURE
TEXTE: CATHERINE LÉGER
ADAPTATION DU SCÉNARIO DE CLAUDE FOURNIER ET MARIE-JOSÉE RAYMOND
MISE EN SCÈNE: PHILIPPE LAMBERT
AVEC: ISABELLE BROUILLETTE, SOPHIE DESMARAIS, STEVE LAPLANTE, MATHIEU QUESNEL ET LÉA ROY

En congé de maternité et hantée par un bruit étrange qu’elle semble seule à entendre, Violette entreprend d’interroger sa voisine Florence. Cette dernière, en arrêt de travail, a décidé de suspendre sa prise d’antidépresseurs. Nouvellement amies, flanquées de conjoints absents, infidèles ou carrément « dans la brume », elles décident de briser la monotonie du quotidien et de prendre en main leur propre plaisir ! Jusqu’où les mènera cette quête d’affranchissement ?

Catherine Léger nous livre ici une adaptation libre et contemporaine de la comédie érotique écrite en 1970 par Claude Fournier et Marie-José Raymond. L’autrice met notamment en lumière le double standard qui pèse encore sur les épaules des femmes décidant de vivre librement leur sexualité. La pièce offre également une réflexion sur l’ennui, ainsi que sur la pression de la famille parfaite avec laquelle doivent composer les mères d’aujourd’hui. Et si la délinquance était un moyen d’accéder au bonheur et à la liberté ?